Poésie à Fougères

Ne me dites pas que vous serez à Fougères le 26 du mois qu'on est.
C'est où, Fougères?
Attention Monsieur Jalbert, on ne chambre pas sur mes villages que je connais.
Bon, imaginons que vous (mais non, pas vous Mon éditrice préférée, je le sais, vous, vous serez en Inde. Mais comment comment comment pouvez-vous m'abandonner ainsi? Enfin, bon reprenons. Imaginons que vous, non pour vous Morgan, Fougères ça fait loin, je le comprends et pour toi, Monsieur Jalbert, il y a toujours cette histoire de 10 pages (oui dix -plus loin)-pages.
Eh bien tous les autres, profitez -si vous le souhaitez- de cette magnifique soirée organisée par l'Office Culturel Juliette Drouet
et dont voici quelques éléments:

Office Culturel Juliette Drouet 
genre       Lecture, rencontre 
date début       26/03/2009 
date fin       26/03/2009 
heure       20h30 
adresse du lieu       Théâtre Victor Hugo, place du Théâtre 
code postal       35300 
ville       Fougères 
région       Bretagne 
pays       France 
descriptif       Lectures-Rencontres musicales
autour des poètes des Editions La Part Commune, domiciliées à Rennes. Avec Yves Landrein, directeur des éditions, et les poètes Marc Baron, Daniel Kay et Pierre Tanguy. Lectures des poèmes par des comédiens. Signatures des livres par les auteurs. Présentation de la soirée, choix des textes et accompagnement au piano: Marc Baron. Entrée gratuite 
lien       www.office-culturel-fougeres.fr 

Comments

[René]

Acolyte,vous aviez rectifié.

[René]

Gente Morgan,hélas, et croyez bien que je le regrette,le problème avec mes sacs ...ce sont mes sacs ,justement.Le plus ancien ,Roger ,et son accolyte Léonard,défendent leur territoire d'une manière originale mais dangereuse.Ils se sont autorisés à s'allier aux petits crocodiles qui jadis se cachaient sous ma casquette.Oui ,c'était un de mes tours favoris:faire apparaître deux petits alligators chatoyants sous les yeux imaginatifs des enfants.
Tout ayant une fin,le contrat avec les crocos a cessé.Et sans même(quel affront!)me demander mon avis,Roger et Léonard leur ont offert l'hospitalité. De ce fait ,gente Morgan ,en vous remerciant de trouver quelque qualité à ma personne ,vous comprendrez fort aisément que je ne puis prendre de risque inconsidéré de vous loger en compagnie de ...(enfin,vous me comprenez),qui peut m'assurer qu'Albert et Lucien-oui c'est le nom des crocos-soient totalement inoffensifs!
Bien à vous ,
Votre dévoué,

[René]

Hopala,cher Philippe Jalbert.Attention.En premier lieu,je ne me télétransporte pas sur Fougères mais sur Châtellerault.Oui Monsieur ,à l'invitation de la Bibliothèque pédagogique et culturelle.Culturelle ,c'est cela ,Monsieur.C'est le premier point. Le point suivant concerne ces 10-plus loin-pages.Il n'a jamais,mais jamais été question de moi dans cette affaire.Tu ne m'as pas demandé que dis-je ,supplié de découper 10 pages. Et je découvre,que ,jaloux qu'une gente personne songe à voyager en ma compagnie( ce qui je le concède reste un mystère, même pour moi) mais bon, je découvre donc que jaloux ,tu cherches à m'égarer sur la voie de 10 jours ,10 pages.Il me semblait que tu disposais du matériel adéquat. Mais ,bon je serai magnanime,je m'en occupe dès mon retour. Magnanime ,monsieur Philippe.Magnanime!

En ce qui concerne l’épisode claviculaire,cher Môssieu jalbert,c’est très facile de vouloir m’associer à un grabataire. N’oubliez pas cependant, cher Môssieu Jalbert que je suis sur ce coup-là, votre scénariste (c-à-d le gars aux 10-plis loin-pages).Ne l’oubliez pas (petit sourire et tête sur le côté),cher Philippe !

[Philippe Jalbert]

Pour ma part je préfère l'éviter. Je ne voyagerai pour rien au monde dans ses bagages. D'ailleurs René, au lieu de faire tes sacs pour Fougères (ou je ne sais plus quel bled de par chez toi), faudrait que tu bosses un peu. 10 pages, et je n'ai pas vu la moindre lettre ni le moindre mail du côté de par ici...

Dans 10 jours je m'y mets à fond : 10 pages, 10 jours.

A moins que toi aussi tu ne te sois brisé la clavicule, ce qui chamboulerait tes plans, ça me parait LARGEMENT suffisant...

[Morgan]

Ha comme j'aimerais vous suivre comme votre ombre dans vos déplacements, René !
A ce propos, vous n'auriez pas une petite place dans vos bagages ? Je sais bien me tenir et rester discrète...
Et puis, je ne m'ennuyerai jamais avec vous !